• machine à germer les graines de coton en afrique centrale
  • Quels sont les effets du coton sur les systèmes agraires ?
  • Les effets induits par le coton dans les savanes de l’Afrique de l’Ouest et du Centre francophone (AOC) ont fait évoluer les systèmes agraires traditionnels à culture entrecoupée de jachère vers de nouveaux systèmes agraires avec des espaces cultivés en continu grâce à l’intensification des pratiques et en particulier l’utilisation d’intrants.
  • Quelle est la part du bassin cotonnier africain dans la production de coton subsaharienne ?
  • Elle est progressivement devenue un élément structurant des systèmes de production agricole et des économies locales. Ainsi, le bassin cotonnier africain de la zone Franc CFA a vu sa part dans la production de coton subsaharienne passer de 13,5 % en 1970 à environ 65 % en 2018–2019 ( ICAC, 2019 ).
  • Quel est le rendement du coton graine en Afrique de l'Ouest et du centre ?
  • En 2019, la production annuelle se situait entre 300 000 et 750 000 tonnes de coton graine dans chacun de ces pays, qui sont aussi ceux qui ont les meilleurs rendements en culture pluviale, avec des valeurs supérieures à une tonne à l’hectare ( ICAC, 2019) ( Fig. 1 ). Production et rendement en coton graine en Afrique de l’Ouest et du Centre.
  • Quel est le secteur mondial du coton ?
  • Le secteur mondial du coton englobe plus de 100 millions d’exploitations familiales réparties dans 75 pays mais, pour beaucoup de ces exploitations, le coton n’est qu’un des éléments d’un système de production plus complexe et intégré ( FAO, 2015 ).
  • Quels sont les avantages du coton ?
  • Depuis les années 1970, le coton a été un moteur dans la transformation des systèmes de production agricole et un élément structurant des économies locales dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC).
  • Quel est le record de production de coton-graine ?
  • Certains ont battu ou égalé leur record de production annuelle : 743 000 tonnes de coton-graine au mali en 2017–2018 ( PR-PICA, 2018 ), 710 000 tonnes au Burkina Faso en 2014–2015 ( Commodafrica, 2015 ; RFI, 2015) et 720 000 tonnes au bénin en 2018–2019 ( Afcot, 2019 ).